La volonté de survivre d'un fou est une chose bien complexe... Quand les gens sains vivent pour défendre des idéaux, atteindre leurs buts, protéger leurs semblables, qu'est-ce qui peut faire tenir debout un homme qui ne comprends même plus les lois de cette société ? Un homme qui ne comprend plus les doctrine superficiels que sont l'amour, l'honneur, l'espoir ? Un homme dont la folie est la seule réponse, dont la solitude est le seul royaume, dont la destruction la seule réponse ?
La volonté de survie d'un fou n'est pas quelque-chose qui peut être définie. Elle n'a rien de logique. Elle est à l'image de son esprit... insaisissable. Quand Kefka esquiva le coup de pied d'Haruka aveuglée au sol, il sourit, constatant qu'elle avait à nouveau invoqué son combo liane et tourbillon. Les cheveux aux vent, Kefka ferma les yeux : la résistance d'une victime, c'était presque agréable à ressentir. Il cramponna collé à Haruka en espérant que les lianes n'oserait pas le saisir si cela demandait à ce qu'elles englobent aussi la jolie brune... Les tourbillon autour aussi devraient atteindra Haruka pour l'atteindre lui : et il était en bien meilleur forme qu'elle. Mais alors, avant que Kefka avait son attention porté sur Haruka et Wistan, il sentit une chaleur incroyable exploser au dessus de lui, le foudroyant du ciel. Il lâcha Haruka. Les lianes qui l'avait enveloppé se consumèrent, les tourbillons furent soufflés avant de l'atteindre... Mais la chair de Kefka était en proie à une attaque bien plus violente qui le fit tomber à terre à genoux. Le magicien, serrant les dent, s'enveloppa de sa propre aura pour tenter de contrer l'explosion et l'attaque : Les cristaux de glace se formait sur sa peau, désireux de se créer une armure de glace se doutant que son opposant mystère n'en resterait pas là, mais l'explosion était si ardente que la glace ne résistait pas. C'est donc impuissant qu'il sentit deux mains le saisir fermement autour de sa tête et de sa nuque.
Le fou concentra tous ses éclairs vers les phalanges de l'inconnu pour affaiblir sa prise, contractant ses muscles autour de son cou pour résister. Kefka tenta de se contorsionner pour faire lâcher prise à son adversaire, mais l'écart de force était trop élevé à ce stade du combat : il gesticula tant bien que mal, et sentit un craquement dans son propre corps avant d'être projeté sur les gravas du toit qui était détruit. Arrêtant sa course contre un mur de l'étage du dessous, le corps brisé mais entier du fou s'écrasa au sol, comme une poupée de chiffon jetée à terre.