Il doit ce surnom à sa découverte tardive par Majin Végéta : Désert depuis des décennies, il a retrouvé aujourd'hui une vie peuplée de serviteurs et d'invités.
Les superstitieux narrent toutes sortes d'histoires étranges à son propos : mais la chose qui semble la plus surréaliste est la survie de ses habitants et de son architecture au milieu de cette jungle hostile et dense.
L'eau stagnante d'une plaine a donné naissance à ce marais : des créatures aquatiques diverses y dorment, se nourrissant des nombreux insectes venant s'y reproduire. Les arbres biscornus qui parcourent cette plaine sont un pont idéal pour ceux ne désirant pas s'y plonger.